Call For An Inquiry Now - La dernière zone humide de Montréal doit être protégée.

Call for an inquiry! Demande d’enquête publique

-French will follow-

Turns out no developer has EVER had a project rejected by Québec's Minister of Environment. Never. 

This startling fact came to light in provincial court on Feb 14th, during Green Coalition’s injunction proceedings to stop the destruction of the Technoparc wetlands.

Thanks in large part to the work of Technoparc Oiseaux, the significance of this important wetland is now well documented.

These marshes are home to the largest variety and density of birds on the Island of Montréal and are near the top of the list for the whole province. Some of the birds found here, such as the Least Bittern, are supposed to be protected by the Species At Risk Act and the Migratory Birds Convention Act.

Ecologists called to testify told the court how significant and irreplaceable these wetlands are to birds, insects, and regulating water flows. We know that wetlands are some of the most important natural features to retain in order to protect biodiversity and keep carbon out of the atmosphere.

You have joined with us in the past in calling for the protection of the Technoparc wetlands, and the case now awaits judgment. There is still time for the City of Montréal and the Québec Minister of the Environment to do the right thing – if we act now. 

Given what we have heard - that no developer has ever been told NO by the province, regardless of the impact of their proposed development on the environment - we must also call for corrective action so that irreplaceable ecosystems like the Technoparc are never in jeopardy again.

Please join with us and the Green Coalition in calling for a public inquiry into how Québec’s Minister of Environment and Climate Change review development proposals. 

Sincerely,

Dr. Isabelle-Anne Bisson,
Co-Chair of the Québec Chapter
Director, Sierra Club Canada Foundation

Il s'avère qu'aucun promoteur n'a JAMAIS vu un de ses projets rejetés par le ministre de l'Environnement du Québec. Jamais. 

Ce fait surprenant a été révélé à la cour provinciale le 14 février dernier, lors de la procédure d'injonction de la Coalition Verte pour l’arrêt de la destruction des zones humides du Technoparc.

Grâce en grande partie au travail du groupe Technoparc Oiseaux, l'importance de cette zone humide considérable est maintenant bien documentée.

Ces marais abritent la plus grande diversité et la plus grande densité d'espèces d’oiseaux de l'île de Montréal et se trouvent en tête de liste pour l'ensemble de la province. Certains des oiseaux qu'on y trouve, comme le Petit Blongios, sont censés être protégés par la Loi sur les espèces en péril et la Loi sur la Convention concernant les oiseaux migrateurs.

Les écologistes appelés à témoigner ont indiqué à la cour combien ces zones humides sont importantes, voire irremplaçables, pour les oiseaux, les insectes, ainsi que la régulation des flux d'eau. Nous savons que les zones humides font partie des milieux naturels dont la préservation est essentielle pour protéger la biodiversité et réduire les émissions de carbone dans l'atmosphère.

Vous vous êtes joints à nous par le passé pour demander la protection des zones humides du Technoparc, et l'affaire est maintenant en attente de jugement. Il est encore temps pour la ville de Montréal et le ministre de l'Environnement du Québec de prendre la bonne décision - si nous agissons maintenant. 

Compte tenu de ce que nous avons appris - qu’aucun promoteur ne s'est jamais vu dire NON par la province, quel que soit l'impact de son projet de développement sur l'environnement - nous devons également demander des mesures correctives afin que des écosystèmes irremplaçables comme le Technoparc ne soient plus jamais mis en danger.

Joignez-vous à nous et à la Coalition Verte pour demander une enquête publique sur la façon dont le ministre de l'Environnement et des Changements climatiques du Québec examine les propositions de développement. 

Cordialement,

Docteure Isabelle-Anne Bisson,
Coprésidente de la section québécoise
Directrice, Fondation Sierra Club Canada