Comité Exécutif

15e anniversaire du Chapitre Sierra Club Québec à Cantley (septembre 2021).
Exécutants du Québec (Isabelle, Charline, Romain), du bureau national (David Currie, David Snider), et membre (Patrick), entourés de conférenciers et participants. Le Chapitre québécois est mû à 100% par des bénévoles, que la passion anime et votre soutien encourage vers l'avant.
 

Membres du comité exécutif (2021) :

 
Dimitri Roussopoulos (co-président)
Isabelle Sawyer (co-présidente)
Dr. Isabelle-Anne Bisson (co-vice-présidente)
Romain Jaeger (Trésorier)
Charline Stiefvater (Secrétaire)
Antoine C. Falardeau
Rain Forest Noakes
Eugene Nicholas
Sofia Ababou  
 
 
Employé.e.s:
Mollie Symons (Communications)
À être comblé (Communications)

 

 

Brèves biographies (en ordre alphabétique) :

 

 

Sofia Ababou est étudiante à la Maîtrise en science politique à l'Université du Québec à Montréal (UQAM) et détient une licence en philosophie de l'Université Jean Jaurès à Toulouse (France). Coordinatrice de l'Observatoire de géopolitique de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques pour l'année 2019-2020, elle est également chercheuse en résidence et travaille sur la géopolitique des changements climatiques ainsi que sur les migrations, les frontières et les murs frontaliers à travers le monde. Pour son mémoire de maîtrise, Sofia Ababou s'intéresse à la relation entre environnement et migration en Afrique de l'Ouest.

 

 

Isabelle BissonDr. Isabelle-Anne Bisson est une experte de l'évaluation de l'impact environnemental et des besoins communautaires, qui aide les organisations à atteindre la durabilité. Mme Bisson a plus de 20 ans d'expérience en tant que consultante scientifique, coordinatrice, ainsi que et gestionnaire de projets scientifiques et de conservation à l'échelle mondiale. Elle a dirigé des projets pour le ministère de la Défense des États-Unis et a mené un programme en Ouganda pour une agence américaine de développement international. Elle a obtenu tant son B.Sc. que son M.Sc. en sciences à l'Université McGill de Montréal, et son doctorat de l'Université York de Toronto. Elle a ensuite effectué des recherches post-doctorales au Smithsonian Environmental Research Center et à l'Université de Princeton.

En 2014, elle a cofondé et dirige désormais seule une entreprise qui offre des services d'expertise en matière de durabilité. Récemment, elle a travaillé en étroite collaboration avec les communautés autochtones du Nord en rapport aux défis environnementaux auxquels elles sont confrontées en raison du développement continu. Elle parle couramment le français, l'anglais et l'espagnol.

 

Antoine C. Falardeau a étudié l’histoire, la muséologie, l’art visuel et le design d’événement. Il s’intéresse à l’être humain dans sa relation avec son environnement bâti et naturel, plus particulièrement à la place de la biodiversité en milieu urbain et au contact humain-nature. sont des sujets qui me touchent particulièrement.

Il aimerait sensibiliser le milieu professionnel de tous horizons aux choix et aux gestes pouvant être posés pour améliorer la qualité de vie et utiliser les ressources de manière plus responsable.

 

Romain Jaeger est un biologiste et ingénieur écologue (M.Sc.) spécialisé en écologie végétale. Son cursus universitaire en France lui a permis de développer de solides compétences en études d’impacts environnementales ainsi qu’en gestion et restauration des milieux naturels et anthropiques. Il débutera prochainement un doctorat en écologie urbaine dans lequel il s’intéressera à l’importance des liens qui existent entre les infrastructures vertes en milieu urbain et un ensemble de services écosystémiques (régulation, socio-économiques, culturels). Un autre aspect de sa recherche portera sur le développement et l’intégration de nouvelles composantes à multiples co-bénéfices au réseau de la trame verte tels que le verdissement des cours d’école et des projets d’agriculture urbaine.

Romain voue un fort intérêt pour la protection et la conservation des espaces naturels qu’il aime explorer à travers des road trips et aussi presque quotidiennement lors d’activités de plein air (trail running, hiking, gravel bike). Il soutient le besoin grandissant d’évènements et d’actions de sensibilisation et d’éducation aux enjeux environnementaux de même que la reconnaissance et la valorisation des richesses que nous procure notre environnement proche (plantes médicinales, champignons). Pour ce faire, il compte sur la collaboration entre les groupes associatifs, les experts-scientifiques, les villes et les gouvernements en plus de la curiosité et de l’engagement des populations.

 

 

Rain Forest Noakes est candidat à la Maîtrise en environnement (MEnv) à l'Université Concordia, où il fait également partie du conseil exécutif du Comité d'urgence climatique. Il a également obtenu un baccalauréat en intervention de plein air (BSc) à l'Université du Québec à Chicoutimi. Il travaille actuellement au sein de l'équipe de Restauration de la Végétation pour la conservation des ressources du parc national de Banff, troisième saison, avec Parcs Canada.

La recherche de deuxième cycle de Rain Forest est axée sur l'amélioration de la méthodologie et de la transparence du programme de surveillance de l'intégrité écologique de Parcs Canada, afin d'assurer la protection de nos parcs nationaux. De plus, fort d'une riche expérience dans un environnement de plein air, Rain recherche constamment à explorer la nature sauvage canadienne par l'escalade, la randonnée et le paddling.

 

Dimitri Roussopoulos est un militant politique, écologiste, écrivain, éditeur, organisateur communautaire et conférencier. Il a fait des études de philosophie, de politique et d'économie dans plusieurs universités montréalaises ainsi qu'à Londres. M. Roussopoulos a cherché à se tenir à l'écart de tout enfermement académique, et à part avoir enseigné pendant deux ans à la fin des années soixante dans une université qui suivait la philosophie d'éducation progressive de John Dewey, il est resté indépendant des institutions. 

Fondateur de la Combined Universities Campaign for Nuclear Disarmament [CUCND] au Canada, Dimitri a également fondé et édité en 1961 la première revue trimestrielle de recherche sur la paix au Canada, Our Generation. Son premier numéro a été tiré à 3000 exemplaires et a été préfacé par Bertrand Russell. La revue s'est transformée en une revue internationale de la nouvelle gauche. En 1962, il a cofondé la Confédération internationale pour le désarmement et la paix (ICDP) à l'Université Oxford.

En 2001, Dimitri Roussopoulos dirige le Groupe de travail sur la démocratie municipale de la Ville de Montréal, participant à la rédaction de la Charte montréalaise des droits et responsabilités du citoyen, la première charte du droit à la ville en Amérique du Nord, reconnue par l'UNESCO comme une innovation importante en matière de démocratie. Actif dans la promotion du Forum social mondial, M. Roussopoulos continue de faire valoir la nécessité d'une opposition extraparlementaire au Canada.

 

Isabelle Sawyer est une juriste-géographe (LL.B./B.Sc.) qui se consacre à la défense des intérêts communautaires.

Elle a fondé le Fonds étudiant pour la défense juridique des animaux (FEDJA) à la Faculté de droit de l'Université de Montréal, et a participé à la conception du premier cours de droit des animaux au niveau du baccalauréat, en plus de soutenir la reconnaissance de stages en milieu communautaire crédités pour ce domaine émergent du droit.

Auparavant, elle a collaboré à l'organisation du premier congrès des Nations Unies pour les diversités biologique et culturelle combinées. Isabelle a également effectué un stage à l'Institut national de la recherche scientifique au sein d'un réseau appelé Dialog, dédié à la reconnaissance du leadership académique autochtone, et où les participants sont invités à aborder la connaissance et l'apprentissage de manière horizontale, plurielle et en co-création.

Ses principaux intérêts portent sur les relations interespèces, l'autonomisation des communautés, les différentes formes de justice réparatrice, le rewilding, ainsi que l’art comme expression du paysage via agentivité et collectivi

 

 

Charline Stiefvater est candidate à la maîtrise en science politique à l’UQAM et ses recherches s’intéressent aux enjeux autochtones en Guyane. Auparavant, elle a complété un baccalauréat en anthropologie et en science politique. Elle soutient la pluralité des luttes en intégrant l’écologie, la justice sociale et le féminisme au cœur de sa pensée. Pendant son temps libre, elle aime restaurer des meubles anciens, faire des randonnées et aller grimper.